Les Reines mortes. La nostalgie des Reines dans la nuit du monde.
Feutre et crayons couleur sur papier, 30 x 24 cm
Un drame édifiant, une rue peu passante près d’un parc. Le personnage principal est un poète. Il déclame sous un arbre à proximité d’une statue et sa voix claire et appuyée résonne à l’intérieur des mots.
– Ô Reines, vous avez quitté palais et châteaux mais vous restez royales ! Je ne finirai jamais d’aimer vos seins ravissants et toutes les courbes de vos corps mais le poète est toujours une proie…
En effet, voilà une bande d’hommes sournois et brutaux qui frappe rageusement le poète de la nuque jusqu’au derrière.
– Aïe, ouille ! Ô Reines ! Souffrez que je devienne votre suave prétendant dans un monde d’étoiles, je n’ai aucune gloire d’artiste mais prenez mon âme…je vous aime…!
Un coup de poing lui écrase la mâchoire.