Le marin à l’œil blessé. Acrylique et pastel sur papier, 50 x 40 cm |
Souffle du large, cambrure de la houle, écumes blanches de l’océan, il se serait sacrifié sans détourner la tête. Sa vérité était celle d’un être qui répugne à se déguiser et son œil avait des reflets de flamme mais dans le chantier maritime un témoin rapporte que le marin avait heurté son ombre en glissant sur les quais humides. Une partie du monde est composée d’îles paisibles et cette histoire est d’une grande incertitude.