Dorothea
Acrylique et pastel sur carton, 86 x 68 cm
A la hauteur de la tête de Dorothea, il y a une pente naturelle où sont plantés des arbres mais tout le décor sort de sa pensée parce qu’elle est distraite par le merle qui siffle, flûte et babille. Et voici et voilà ma Dorothea qui se met à chanter le mariage du merle et de la grive : « Fidirallala, fidirallala, fidirallalalala…! »
Les allemandes sont craquantes mais je résiste et je continue à peindre plus vite et sans relâche.