Ah, le retour des beaux jours !
Acrylique sur papier, 40 x 30 cm
Son bel œil est un vide concentré. Il reste dans sa chambre close et la brûlure de son cœur le prédispose à la pensée pittoresque. Il ne cesse pas de vivre mais ne connaît plus de son visage que sa déchirante pâleur. Les choses domestiques et quotidiennes lui font horreur. Il a élaboré un genre artistique vraiment incohérent dans la perspective du grand retour des années frivoles. Dehors, il y a une vilaine pluie rouge et un grand vent sauvage secoue les arbres. Des milliers de feuilles s’envolent.